Le dragon bleu Glaucus atlanticus
Le nudibranche pélagique glaucus atlanticus est présent en océan Atlantique mais on le trouve dans la plupart des eaux de mer tempérée et chaude de l'océan Mondial, y compris en mer Méditerranée, en Mer Rouge, etc. La répartition est circumtropicale.
La limace de mer bleue Glaucus atlanticus rappelle la forme d'une hirondelle ou d'un dragon et ce gastéropode marin fascine tant par ses extensions branchiales spectaculaires que la couleur bleue très voyante sur une plage de sable lorsqu'il s'y échoue.
Ces limaces de mer se meuvent très lentement, atteignant la vitesse (peu) fulgurante de 0,001 km/h (10 cm en 5 mn). S'ajoute à cette lenteur le camouflage optique : il se déplace face ventrale vers le haut, collés à la surface de l'eau, laquelle face ventrale est munie d'un flotteur sous la forme d'une bulle d'air provoquant des effets optiques perturbant les rares prédateurs.
Il semble que les dragons bleus soient en mesure de choisir le plus venimeux des nématocystes urticants des physalies pour leur propre usage. Comme la plupart des aéolides, glaucus atlanticus stocke les nématocystes dans des sacs spéciaux, les cnidosacs, à la pointe de leur cerata. En conséquence, les dragons bleus doivent être manipulés avec précaution car ils peuvent provoquer une piqûre très douloureuse, en raison des nématocystes prises sur l'espèce proie Physalia.
Source: http://www.aquaportail.com/
La limace de mer bleue Glaucus atlanticus rappelle la forme d'une hirondelle ou d'un dragon et ce gastéropode marin fascine tant par ses extensions branchiales spectaculaires que la couleur bleue très voyante sur une plage de sable lorsqu'il s'y échoue.
Les deux espèces du genre Glaucus :
glaucus marginatus et Glaucus atlanticus, respectivement à gauche et à droite, se distingue facilement par la bande noire unique sur le dos de G. marginatus mais aussi pas taille nettement plus petite. En effet, G. atlanticus atteint 3 à 6 cm (à comparer avec l'algue fucus tout à fait à gauche de la photo) contre seulement 1 à 1,2 cm pour G. marginatus qui dépasse à peine la taille d'un vésicule, l'aérocyste de ce varech.
glaucus marginatus et Glaucus atlanticus, respectivement à gauche et à droite, se distingue facilement par la bande noire unique sur le dos de G. marginatus mais aussi pas taille nettement plus petite. En effet, G. atlanticus atteint 3 à 6 cm (à comparer avec l'algue fucus tout à fait à gauche de la photo) contre seulement 1 à 1,2 cm pour G. marginatus qui dépasse à peine la taille d'un vésicule, l'aérocyste de ce varech.
Autre vue du nudibranche Glaucus atlanticus, communément appelé le Dragon Bleu ou l'Hirondelle de mer :
La qualification de dragon bleu pour glaucus atlanticus s'explique aisément, non seulement par l'aspect mais aussi par le côté mythique, mystique, de leur mode de déplacement.
La qualification de dragon bleu pour glaucus atlanticus s'explique aisément, non seulement par l'aspect mais aussi par le côté mythique, mystique, de leur mode de déplacement.
Ces limaces de mer se meuvent très lentement, atteignant la vitesse (peu) fulgurante de 0,001 km/h (10 cm en 5 mn). S'ajoute à cette lenteur le camouflage optique : il se déplace face ventrale vers le haut, collés à la surface de l'eau, laquelle face ventrale est munie d'un flotteur sous la forme d'une bulle d'air provoquant des effets optiques perturbant les rares prédateurs.
Fiche de maintenance détaillée de Glaucus atlanticus
Alimentation et nourriture :
L'une des grandes particularités de G. atlanticus est de manger des tentacules de siphonophores, se nourrissant d'hydraires coloniaux comme la physalie Physalia physalis dont la limace dragon s'est fait une spécialité alimentaire avec d'autres tels que Velella velella, Porpita porpita ou encore des invertébrés du genre Janthina. Tous ces animaux flottent à la surface de l'océan étant portés par les courants et les vents, comme du macro-plancton dérivant.Il semble que les dragons bleus soient en mesure de choisir le plus venimeux des nématocystes urticants des physalies pour leur propre usage. Comme la plupart des aéolides, glaucus atlanticus stocke les nématocystes dans des sacs spéciaux, les cnidosacs, à la pointe de leur cerata. En conséquence, les dragons bleus doivent être manipulés avec précaution car ils peuvent provoquer une piqûre très douloureuse, en raison des nématocystes prises sur l'espèce proie Physalia.
Source: http://www.aquaportail.com/
legrandunivers.blogspot.com
Le dragon bleu Glaucus atlanticus
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